jln a écrit :Un poil de chance avec cette ruche...
Je ne sais pas encore comment je vais m'y prendre pour enlever sans rien casser cet arbre tombé cette nuit, qui a quand même eu la délicatesse de s'arrêter à quelques centimètres du toit...
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Ah oui, là, voici un arbre qui a du savoir-choir (pour ce mot, merci à monsieur Raymond Devos).
Pour l'enlever, sans risquer la ruche, je vois une solution pratique : Étayer sous le tronc, du coté du houppier par rapport à la ruche (à environ 1 m de la ruche, pour avoir la place de manœuvrer ensuite) ; pour l'étai, former un tripode (un V renversé parallèle au coté de la ruche, et un jambage supplémentaire coté ruche pour que quand le tronc va libérer l'étai, celui-ci ne vienne pas sur la ruche) ; puis tronçonner le tronc au-delà de l'étai. La partie de tronc restant va sans doute se relever un peu ; en tout cas il pourra alors être décalé par rapport à la ruche, et tu pourras finir de tronçonner.
Et comme les abeilles sont actives, il va falloir faire ça en combinaison complète, car habituellement elles n'aiment pas du tout le vacarme (ou les odeurs ou les gaz d'échappement) de la tronçonneuse. À moins que fin avril ou début mai nous réserve une ou deux matins gelés, que tu pourrais mettre à profit si tu es disponible alors ; mais prendre des précautions quand même !