Michel a écrit :Bonjour Cunégonde,
C'est l'éternelle question de l'efficacité du piégeage de printemps. Bon nombre d'apiculteurs le pratiquent mais les scientifiques semblent unanimes pour dire que c'est contre-performant.
Selon eux, les reines qui survivent à l'hiver mettent toute leur énergie à fonder une colonie, d'une part, et à se battre contre d'autres reines qui veulent s'installer dans la même zone, d'autre part. En piégeant, nous ne réduisons donc pas le nombre de nids au final mais nous réduisons le nombre de combats que doit livrer la reine survivante. Du coup, elle a plus d'énergie pour développer sa colonie.
Je trouve que ça se tient et je ne piège plus. Est-ce un hasard mais j'ai de moins en moins de frelons asiatiques sur mon rucher. Ceci dit, je pense que c'est surtout dû au fait que l'avifaune est assez bien préservée, dans mon coin, et que les mésanges, geais, pies et piverts ont bien repéré que le frelon pouvait être mis à leur menu.
A+
bonsoir,
j'ai quelques doutes sur les bagarres entre fondatrices et je me demande sur quelles études se basent les scientifiques; l'année dernière, 4 nids chez un apiculteur amateur dans un rayon de 100m, dont 2 à moins de 30 mètres des 2 ruches , une n'a pas survécu.
L'année dernière, à la maison beaucoup de frelons asiatiques, jusqu'à 4-5 ensembles devant chaque ruche ça énerve un peu alors barrières, raquettes, pièges...
Cette année, peut-être le mauvais temps (?) mais 1 à 2 FA par semaine dans les pièges, et pas encore vu devant les ruches. Sans doute une meilleure adaptation de la faune locale.
A+
Apprendre à ouvrir les yeux, pas la ruche.
2 dadant - 4 warré