mon essaim de ce printemps se porte bien, 15° à 1300 m elles en profitent aussi, soleils d'artifice et nettoyage ;
je regarde dans le vide sanitaire et là, l'adrénaline monte, je vois une abeille en train de se battre ! Pillage ?
Non elle s'énerve seulement pour sortir une abeille morte. Je comprends sa tache comme novice que je suis. Elles sont encore une trentaine de mortes sur la grille. Abeilles d'été qui n'ont pu faire leur dernier vol, du aux deux semaines de température fraîche.
Bon hiver à vous,
Nota : à défaut de récolte de miel cette année, je me fais une cure de ma récolte de propolis
J'en ai tellement honte que je n'ose plus mettre de post 
. Et quand t'es en calbut, pied nus, une scie à la main pour te défendre, tu ne rigoles pas du tout. Les anciens et les pros vont peut-être dire que j'aurais du mettre cela dans cagades et couillonnades. Prudemment j'ai raccroché la scie au mur et je suis sortit doucement pour aller m'habiller en faisant le tour, car pas question d'ouvrir la porte de communication avec le reste de l'appart. Quand je reviens vingt bonnes minutes plus tard et cette fois bien habillé avec chapeau et voilette. il y moins d'abeilles qui volent dans la pièce et toujours des fifilles qui entrent et qui sortent. par la porte, je regarde dans l’élément à terre il y a une petite masse sombre qui s'est agglutinée sous les barres des cadres sur un côté. Je les pchi-pchite avec de l'eau légèrement additionnée de sirop et je commence à en lever les vieux cadres par le côté opposé, et finalement je me trouve avec un petit essaim environ de la taille d'un poing (avec piqûres) sur les deux derniers cadres et collé sur la paroi. Un tiers des abeilles (de visu) sont noires et les autres avec l'abdomen rayé d'orangé. Je remplace les six cadres centraux par des cadres dont les amorces avaient été étirées par un précédent essaim qui n'avait pas voulu rester, et je fini avec deux vieux cadres non cirés juste pour l'odeur. après mise de l'élément qui était sur du carrelage sur un fond avec nourrisseur d'entrée, déplacement à l'extérieur juste à côté de la porte, couvercle, toit, tôle ondulée et parpaing et mise en place d'un réducteur d'entrée. En quelques minutes des fifilles battent le rappel à l'entrée (des rayées) et je leur colle 1/4 de litre de sirop. Fin des opérations 16h00, mais je trouve qu'il y a encore pas mal de fifilles qui tournent dans la pièce qui me sert d'atelier, et je crains qu'elles s'obstinent à vouloir s'installer dedans. je les laisse tranquilles en priant pour que cela n'arrive pas. 18h00 il fait encore jour même si le soleil se couche, bientôt plus une mouche dans l'atelier mais encore beaucoup d'entrées et sorties et de fifilles qui tournent autour. je tappe trois coup sur la caisse pour écouter, ça bourdonne mais cela se calme rapidement. 
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. Elles ont construit deux petites galettes blanches sur les vieux cadres où elles s'étaient accrochées, un peu étiré une des cires sur la face qui était contre l'essaim, quelques traces de pollen orange au fond des alvéoles, et pas mal de propolis pour coller le couvercle. Je ne suis qu'à moitié surpris, car celle que j'avais cru identifier pour la pondeuse sans en être certain, n'avait pas l'abdomen très hypertrophié (vierge ?).
