Bonjour,
Milles merci pour vos encouragements. Vraiment touché par vos remarques vis-à-vis de mon français !!! Quand même, à l’avenir je vais essayer de rédiger mes textes avec l’éditeur MS Word en bénéficiant ainsi du correcteur grammatical inclus.
Comme je vous ai déjà promis, je reviens avec des photos (j’espère que ça va fonctionner
).
Les familles d’abeilles (race européen noire variété « Carpatique », je crois
) je les ai achetés d’une paysanne qui a « perdu » son mari apiculteur (décède au cours de l’hiver à cause d’âge avancée). Son rucher comptait plus de 25 ruches dont j’ai pris les dernières deux ; c’est pour ça que les familles ne sont pas très puissantes. Elle a voulu vendre toutes les ruches à ce moment de l’année donc je n’ai pas eu le choix et je les ai transvasées dans mes ruches si tôt.
Au pied de ces montagnes y’a « mon rucher » (altitude de l’emplacement : environ 540m).
Comme vous voyez, y’a pas mal de neige aux hautes altitudes en fin de mars.
Et maintenant, « mon rucher » !!!
Les ruches sont installées sur la propriété d’un ami (environ 3500 m2) qui a été très gentil de me les accepter
. Malheureusement, la végétation dans le voisinage de mes ruches n’étant pas suffisamment avancée
, je devrai les nourrir au sirop. En ce qui concerne les filles, elles devront m’aider en luttant pour leur vie…
Sur le terrain il y’a une maison de vacance pas souvent usagée. C’est pour cela que la végétation sur la propriété est tout à fait « sauvage ». Y’en a quelques acacias, quelques noisetiers, deux sapins et, presqu’entourant les ruches, un mûrier sauvage en dehors de quelques espèces que je ne connais le nom français. Le foret et une rivière sont dans le proche voisinage.
La famille de la ruche jaune (baptisée ainsi sur la couleur de punaisés avec lesquelles j’ai fixé les morceaux de tôle d’alu ayant rôle de réducteur d’entrée) est plus active. La grappe étant accrochée à plus de trois barètes, je n’ai pu me rendre compte encore si les filles ont commencé à bâtir deux jours apres le transvasement:
Foto 6
La famille de la ruche bleue, est assez petite et ce pour cela que j’ai réduit l’entrée au maximum (une seule abeille peut passer). Malgré le nombre réduit des habitantes, j’ai pu constater qu’elles ont commencé à bâtir un rayon.
Foto 7
Coté menuiserie : Les ruches sont construites en planches de sapin épaisseur 22 mm (achetées d’une grande surface « bricolage ») encollé et serres à vis de bois. Les planches étant 120 mm de large j’ai dû les encoller aussi sur la hauteur pour obtenir les parois des hausses. J’ai utilisé une scie circulaire à main « hobby » installée sur une plaque de bois aggloméré et une séreuse à batteries (‘hobby toujours). Le toit est protégé par une feuille de tôle en alu 0.5mm que j’ai pliée et fixé à vis de bois en quatre points. En dessous de la tôle y’a une plaque en bois et une plaque de polystyrène expansée 30 mm d’épaisseur. Comme coussin aux dessus du couvain j’ai utilisé de la laine synthétique (pas du tout « bio »
, d’accord) que je vais remplacer par des matériaux naturels des que je les aurai. Les hausses sont vitrées et les volets sont en polystyrène expansée extrudée (couleur rose) que je n’ai pas réussi peindre encore ( « look » horrible
, d’accord). Le fond de deux ruches est (partiellement) grillagé est ouvert (sans plaque de protection supplémentaire). L’entrée de 20 x 120 mm est découpée dans la planche frontale du socle qui ne respecte aucun modelé consacrée (je pense
) est réduite avec de la tôle alu 0.5mm. Les bois est protégé par deux couches de « peinture suédoise ». Comme vous voyez, mes ruches sont partiellement construites sur une « interprétation personnelle » des ruches FG. L’avenir va me dire la dimension de mes erreurs de début.
J’ai installé des grilles à reine à l’intérieur de deux ruches couvrant toute la section des ruches en dessous des hausses basses que je compte laisser en place pour une semaine pour éviter que « mes filles » désertent.
Merci pour votre attention. Vos conseilles seront fortement appréciées !!!