Documentaire arté

[kiloas972]

Disponible jusqu’à début avril 2021:
Ça parle abeilles en début de reportage.

[luxbee]

Pour ne pas me faire descendre à boulets rouges je précise d’emblée que j’exprime mon opinion personnelle et je peux évidemment me tromper. J’ai trouvé que cette « fabrique de l’ignorance » en fabriquait justement de l’ignorance. La partie sur les abeilles met en avant les pesticides neonicotinoides comme principales causes d’effondrement des colonies et présente le varroa comme bouc émissaire, pour moi c’est le contraire !

[jlm36]

Il faut rechercher un peu plus loin et ne pas mettre un numéro 1, 2 etc..
il y a beaucoup de causes qui sont préjudiciables aux abeilles.
L'homme, l'apiculteur, les pesticides, les traitements, l'élevage artificiel de reines, l'insémination, les cires, le sucre, le vv, le varroa.
Si nous faisions en sorte que l'abeille soit plus forte, elle serait plus apte à combattre ces fléaux.

[herve19]

Bonsoir,
Dois-je ajouter qu’une fois de plus, je suis d’accord avec jlm36?
La multiplication des facteurs affaiblit les colonies qui sont plus sensibles aux attaques. Si certaines solutions utilisées actuellement participent à cette fragilisation, on trouvera toujours un bouc émissaire de son choix. Bouc émissaire qui viendra si possible valider la pratique de chaque apiculteur.
De nombreuses espèces animales ou végétales sur-sélectionnées ne peuvent plus vivre sans pesticides, produits vétérinaires etc... Le cas des betteraves et des néonicotinoïdes est emblématique. Les cultivars utilisés sont très sensibles aux pucerons donc on traite plutôt que changer le cultivar.
Appliqué aux abeilles, on maintient sans doute des colonies inadaptées en multipliant les interventions.
Sur ce forum, on constate une énorme diversité de pratiques et c’est sans doute en un mélange de tous ces savoirs et pratiques qu’émergera la solution.

[malfab]

Bonsoir,
Dois-je ajouter qu’une fois de plus, je suis d’accord avec jlm36?
La multiplication des facteurs affaiblit les colonies qui sont plus sensibles aux attaques. Si certaines solutions utilisées actuellement participent à cette fragilisation, on trouvera toujours un bouc émissaire de son choix. Bouc émissaire qui viendra si possible valider la pratique de chaque apiculteur.
De nombreuses espèces animales ou végétales sur-sélectionnées ne peuvent plus vivre sans pesticides, produits vétérinaires etc... Le cas des betteraves et des néonicotinoïdes est emblématique. Les cultivars utilisés sont très sensibles aux pucerons donc on traite plutôt que changer le cultivar.
Appliqué aux abeilles, on maintient sans doute des colonies inadaptées en multipliant les interventions.
Sur ce forum, on constate une énorme diversité de pratiques et c’est sans doute en un mélange de tous ces savoirs et pratiques qu’émergera la solution.

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