Je me suis rendu cette semaine au rucher pour évaluer les constructions en cours et surprise ... j'ai vu que nos petites entraient par une fente entre deux hausses. Je peux presque dire qu'elles privilégiaient cette entrée à l'entrée principale en bas de la ruche. J'en suis venu donc à me remettre en question et retourner dans la lecture du livre de M. Gatineau.
Que pensez-vous de construire une hausse ainsi : - vitre arrière - ouverture sur le devant (mais je préfère une ouverture rectangulaire de type mortaise) - toile ou moustiquaire puis toit type Guillaume.
Gilles Denis préconise de mettre une cale de 1cm entre chaque élément pour laisser passer ces demoiselles... il est vrai que ça leur évite de remonter 2, 3 voire 4 éléments avant de pouvoir faire leur office
Bonsoir En principe ce n'est pas la butineuse qui stocke son nectar, il y a le passage jabot vers autre abeille, une autre, une autre... (trophallaxie), puis stockage
mes éléments sont tous munis d'entrées individuelles (fente réalisée à la défonceuse) que j'ouvre ou ferme à l'aide d'un morceau de cornière alu pivotant à l'aide d'une pointe.
Elles me servent parfois lors de division en place.
Par contre, je ne les ouvre jamais au printemps (je crains trop de refroidissement), elles sont ouvertes sur les grosses colonies en période estivale, et refermées progressivement lors de la baisse d'intensité de la miellée.
je n'envisage même pas de construire des éléments sans entrée individuelle.
Perso, je fais des trous de diamètre 25 mm et j'y place un bouchon de liège, diamètre 24 mm. J'étanchéifie le bouchon en l'entourant d'adhésif, type électricien. C'est neutre comme couleur, et ça permet d'être en phase avec les abeilles Sur les conseils de Mr Gatineau, j'ouvre en période d'essaimage au niveau de la hausse. Il y a toujours quelques gardiennes qui occupent le trou, en laissant dépasser leur tête.
Comme Nialac, je ne suis pas sûr que ce soit très agréable pour nos petites amies. Mais pour nous cela peut aussi devenir très compliqué. En effet, deux ouvertures existent et on peut les retrouver régulièrement chez l'un ou l'autre. La première rectangulaire fermée par un bouchon et la deuxième ronde fermée par une plaque d'acier pivotante sur un axe. Pourquoi choisir l'une plutôt que l'autre ? M. Gatineau avait lui aussi tenté la première pour finalement terminer par la deuxième méthode.
Réponse : la propolisation
Un bouchon sera rapidement colmaté par les abeilles. Quelle déception lorsque nous voudrons ouvrir le bouchon si solidement fixé.
Dans la manière de pratiquer de l'abbé, on rajoute les éléments par dessous : pour ne pas faire de courant d'air sur le couvain. Que l'on ne fasse pas un appel d'air comme dans une cheminée : c'est bien ça ?
Alors je ne comprends pas ces ouvertures ?
D'autant plus que l'an dernier ayant rajouté par dessous un élément un peu trop tôt, j'ai constaté que les abeilles, se mettaient entre les barrettes. Après observation de plusieurs jours, j'ai remarqué qu'elles bouchaient entre les barrettes dès que le froid descendait.
Bonsoir Hirondelle, J'ai constaté tout à fait par hasard sur une de mes ruches FG, dans laquelle il y avait un espace entre deux hausses suite à un éclat important dans le bois, qu'une bonne partie des abeilles entraient directement par ce 'trou'.
J'avais donc deux entrées. Je ne l'ai pas fait exprès. J'en ai donc déduit que M. Gatineau avait observé quelque chose de juste.
Ces ouvertures ne devraient être 'ouvertes' que pendant l'été, quand il fait chaud.
J'avais donc posté pour savoir si il y avait parmi nous des apiculteurs FG qui avaient une ouverture Gatineau.
j'envisage de faire aussi une ouverture type Gatineau refermée avec une tôle. Mais pour l'hiver ? n'y aura-t-il pas trop de courant d'air ? Je fais mes ruches en 25 cm de diamètre pour que ce soit isolé, alors si je commence à laisser des zones avec juste une tôle... Que faire