Message#1 » jeu. mars 23, 2017 3:57 pm
Bonjour à tous,
Certains ont perdu beaucoup de colonies, d'autres n'ont rien subi.
Je fais parti de la première catégorie avec 6 pertes sur 10 ruches.
Au delà des spéculations sur les causes de ces pertes, il me semblerait intéressant de définir l'environnement de chacun. L'objectif étant de créer une base de données suffisamment fournie pour essayer ensuite d'interpréter les résultats si cela est possible.
Si cela vous semble intéressant, nous pourrions d'abord essayer de lister les informations nécessaires puis d'apporter chacun notre contribution en donnant nos propres conditions.
Cette réflexion vient d'un constat cette année avec mes amis api les plus proches (dans un rayons de 20 km), où les pertes varient de 0 à 90 % sans pouvoir accuser telle ou telle méthode d'élevage ni de type de ruche et encore moins de race car nous avons des Dadant, des de Layens, des Warré et autres modèles exotiques, certains ne traitent pas, d'autres aux languettes ou AF / AO. Quant aux colonies c'est le festival des races et des origines.
Voici en vrac les idées :
Environnement "immédiat" du rucher : En observant sur Google Map dans un cercle de 1,5 km de rayon autour du rucher on recense les différentes cultures : Champs, pâturage, culture, jardin, bois, friche, ruisseau, ... en précisant éventuellement la nature de chaque culture et bien évidemment la place (en %) de chacune.
Exemple pour moi :
- Champs (fourrage et pâturage en automne petit cheptel de 50 vaches) : 60 %
- Bois (feuillus chêne, charme ...) : 20 %
- Culture (maïs à 90%, blé, orge ...) : 15 %
- Friches (ronces ...) : 2 %
- Habitation (pelouse et fleures) : 2 %
- Routes, cours d'eau ... : 1 %
- Perte (hivernale bien entendu) : 6 ruches sur 10.
A vos avis.
Si bien entendu vous trouvez cette proposition trop intrusive ou absurde, on oublie.
Amitiés
Alain