Messages récupéré sur Facebook d'un apiculteur qui réside au Japon a priori... là-bas il n'y a pas que le FA mais aussi d'autres espèces apparentées.
Ça m'a l'air pas mal ces pièges :
https://www.facebook.com/olivier.deme/v ... 394549991/https://www.facebook.com/olivier.deme/v ... 641581156/"À la demande de plusieurs apiculteurs j’ai pris une vidéo des muselières. On voit bien le procédé et son efficacité. Aucun appât, les muselières sont ouvertes sur la totalité du dessous. Maillage de 6 mm. La partie du haut est escamotable pour le nettoyage. La version du fond (partie haute, grillage sur les trois versants) paraît plus efficace mais ça peut être en fonction des ruches ou de leur position.
C’est la méthode H, de mon nom Hakushinomiya. (Je verrais encore certains se l’approprier, voir la vendre ou s’en donner les mérites, donc je la nomme et je déclare bien haut et fort qu’elle est du domaine publique, pour le bien de nos abeilles).
Le principe :
Un frelon ira vers la lumière dès qu’il attrapera une proie ou qu’il sera relâché (si vous avez pris et relâché des frelons en filet vous voyez de quoi je parle).
Donc entre la partie basse et la partie haute il y a des puits de lumières, fait avec des entonnoirs (des chinois en fer dont le bout est ouvert pour les laisser entrer).
Comme les poissons ils entrent mais ne trouvent pas la sortie car elle est étroite et obscure.
les abeilles sortent plus ou moins facilement. Elles sortiraient plus facilement sans, c’est sur. Mais grâce à la muselière aussi elles ne voient pas les frelons dehors et sortent sans crainte. Elles passent en dessous pour 70%, devant ou sur les côtés, ce qui augmente leur chance de fuite. Et dans la pratique les frelons ont du mal à prévoir leur mouvement. L’ouverture est aussi cachée ce qui évite que les mandariana arrive vers l’ouverture en marchant (sinon c’est le carnage, 1 ou 2 abeilles décapitées à la seconde).
la muselière est ouverte en dessous. 90% des abeilles partent par dessous, et quand les frelons viennent les choper leur premier réflexe est de fuir la lumière : ici, le piège.